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- enokols -
14 janvier 2005

catacombe

REvolte des idées, ah cochonneries, puanteur et dejections! je meurs? non, mais non, j'ecris, jhe respire, oui! mais de l'air vicié, celui qui t'entour, quoi tu me tutoies, rhaa, folie! demence, haine ou colere: solitude, je l'ai deja dit crié voulu ? non, NION, pas voulu, craché, loin de moi, j'ecris, je tape je foudroie, quoi ? un clavier, bien sur.
L'evidence des cloporte; mais ca ne veut rien dire? Et pourquoi le voudrais je, dire ? a pres tout je risque l'internement: liberteR LIBERTER: EXPRESSIon,... demence, aha ahahahtu m'aura, ou bien est ce moi qui t'es aquiose et seduite, je te veux peut etre, vouloir ne rien vouloir dire, deprime et depression. TAPAGE, tapage, rock et pierre. Je ne roule plus plusplusplus, d'ailleur je n'ai rien a fumé, boire, apeine, non que dis je, je n'ai plus a boire. QUoi ? TU N4AVAIS QU4UN VERRE, arrete la maj au bon moment.

L'alcool est il plaie pour l'ame ou medicament, anesthesions, qui souhaiterais etre fou ? tous, de temps en temps ? TOut le temps ? alacolique !!! Quel foutoire mais qui s'y retrouvera.
Message masqué ? inconscience reveillé, , bulle ephemere, comme toutes d'ailleur, je m'en vais comptempler les temple et tant pis et t'en pile les vers gluant sur t'a face, oh liqueur qui me soulage, pourquoi me rend tu sopir en colere? rien rien rien rien rien rien rienr. Et la musique hurle!!! ah muxsique m'evaderas tu ?

BOire, encore, toujours, vivre j'amis plus, en finir , VIVE la DERISION!! le rire, la desinvolture, merde! courir courir fuir !!!

AH pauvrfe claivier, glapie piege a souris, je perd toujours de toute maniere. Né ton, nez t'on nait on perdant! t'es t'on teton t'hais ton t'es! voila, c'est cela, tu voudrais mourrir mais tu ne peut pas
Ah ecris ecrire automatisme
MORT L4AUTOCENSURE!: voila la porte ouverte, et les lame passe, les veine s'ouvre et le sanguin s'eclaire, COLERE !!!
MORT LA VIE ? la VOIX ? la voiE!  l'abei pleur les semence, et croule le derisoir, ah l'eloignement, ah les degres et le sang, gaité ivre... COler ivrogne: SOLITUDE, pourtant je ne suis pas seul, loin s'en faut, une FAUX il me FAut un FAUX; une faute. MErci famille merci amis, que dis je? soyez loué camarade. ALors les filles surement !? L'amour decadent, des cas dans lequels je me foure, rien, non foutre, main, rha colere, merde.

Rock musique heureusement heureux dis tu ? non pas vraiment mais disons que lorsque les element s'y mele il semble que la nature me sois ainsi si bien presenté que mon moi se noie dans la realité, d'ailleur heureusement qu'il fait nuit. LE jour nuis a mes passion colereique; desepoir plutot ? desepomme plus tard. connard. merde. dejection enflure; enflure de mon esprit voila l'hematome, voila le sol, les plat fond, ruine, colere et desespoir.

Mais que dire alors, si simplement je ne cherche qu' maudire, ne dire mot ? POURQUOI PAS? si je veux d'abord
ARRETE DE LIRE!!!!

Ne vois tu pas que tu viol, que je m'exibe, la folie, triste colere, melancolie, calme et douceur voila que mon ame se soulage; serais ce la musique ou ai je dit a mon ainsi ce qu'il me fallait craché, vomir, eructer ?

S'appaise en moi les maux et les mots, j'avais avaler de travers, il faut dire que la vie est amer, noyade, a la mer, sel yeux enivré poivre et piment ou etes vous: alcool peut etre. REVIENS je veux un verre.

"je dansais alors, plein d'allegresse, penchant tendrement ses hanche, elle virvoltait dans les airs, voila qu'elle s'envolait au dessus de moi, serait elle trop belle ?"

Santé! Ironie ? L'ivregne se sucide, mais c'est la jeunesse, sa fin, sa faim et sa colere. MErde

Voila que tout va trop vite, les herbe folle ont la folie de me fuit, si seulement j'avais quelque fumé roulé pour m'apaiser, me vendre. Quel foutoire me direz vous, en voila un esprit tourmentez.
Vous croyez vous mieux, plus elegant peut etre: la beauté des masques, deguisements, carapaces: il y a que meme dans un miroir vous ne voyez pas votre surface propre, simplement votre facade bien polie, netoyez et sculpter par vos soins, vous voila plus presentable, l'on ne risque point, en effet, de vous croire derangé: a vrai dire il n'y a pas mieux rangé que vous: categorisé, classé, a la mode peut etre, jonché de normalité mortifere; vous vous empester! seulement voila vous avez l'obligence naive de vous parfumer, de vous habiller: Moi J4AI AVALER DE TRAVERS. MOI IL ME FAUT CRACHER VOMIR QUITTE A EMPESTER, d'aillleur je vous est deja demander de cesser vos reniflements. Ah qu'elle belle l'hypocrisie qui aime a sentir ailleur que sur soi les puanteurs terrestre. Il me faurait un verrre s'il vous plait.

Un join, plutot, voila qui m'apaiseraiT. Taisez vos persiflage, qui etes vous pour croire comprendre:"oh mais, evidement c'est un skizo,  rha les drogué..." Vous puez, vous l'ai je deja dis ?

L'esprit se tourmente, tourne, ment, cache, ivre, detresse, solitude et parresse. MErde. VOIla le foutoire, il me faut des rein un ventre, des seins, un cou, des bras et un sourrire qui me regarderais. VOlupter, deux: nombre sacré. Je m'enfonce, m'enterre, je voudrais un verre et de la defonce, defonce, je me defoncer: j'en ai marre de la terre. Quitte. PARt, FUit. MErde.

Vulgarité prospere, terne et sombre, coulante et agacante, fuyer, vous allez tommber: vous pourriez vous faire mal. MErde et PuTAIN: cOnnerie.
AI je le droit, seulement, de me faire lire lorsque je delire? pourquoi penserais ton si l'on est un tant soit peu libre, nous pourrions nous envoler aussi, vivre, enfin sur les dune, parcourir les flot, arreter de nager de luter contre la noyade, voyager, arreter de penser, dumoins de divagué: pourtant ce sont les vague qui font le sel: quel carosse d'acier il me faudraitm: une caresse d'argile, quelque poterie a vrai dire. A dire faut une gifle, de quoi me reveiller, rha torpeur; peut etre me faudrait il pleurer, de quoi se soulager, et puis, tranquilement continuer a rouler la pierre vers le sommet. Bestialité demente, je defeque de corp et d'esprit, voila, noseabonde, ma puanteur terrestre. Une tombe, un tombeau, beau tomber, le fracas ne viens pas, il s'echappe, ou s'errode peut etre, suis je corrosif ?

Je suis mauve violet, de ces couleur mortuaires, quelque chose de fou, d'insencé, d'ailleur.

Je peut continuer mais jusque quand, qu'and est que je cesserais de torturer ce povre clavier, il n'a rien fait pourtant, il ne fait rien d'ailleur; ailleur, peut etre sont ce les clavier qui fracasse les cranes...

BOUquet de nerf.

Peut etre est ce cela.
FInis, POSTE
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Commentaires
S
ton texte, magnifique!!! si tu pense cela c exaxctement mon cas.<br /> mon msn: sabrina_chris@msn.fr
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